« Problem avec le haie dans parc Baile » [sic]

Ella Eßlinger demande si une haie peut être un monument

Je suis devenue une admiratrice de la haie du parc Baile au CCA. À mon arrivée au Centre en octobre de l’an dernier, la haie, comme si elle avait été dessinée au surligneur rouge vif, semblait traverser le vert clair de la pelouse. Lorsque le feuillage dense a commencé à s’éclaircir et à devenir plus délicat en novembre, les troncs des arbustes taillés se sont trouvés étonnamment exposés. À la fin du mois, sa protection hivernale à rayures blanches et bleues m’a amenée à croire que Daniel Buren avait entrepris une intervention in situ. Quand elle a disparu entièrement sous un manteau de neige blanche, sa présence n’était plus évidente que sous la forme d’une légère ondulation du terrain. Elle n’a récupéré ses feuilles qu’au printemps, lorsque ses gardiens l’ont libérée de sa cage. Et maintenant, en été, alors que je photographie la haie avec le bâtiment monolithique du CCA en arrière-plan, les lignes horizontales se confondent pratiquement avec celles du Rhein II d’Andreas Gursky. Naturellement, la haie n’est pas que l’objet de mon affection, mais elle devient aussi le sujet de mes recherches.

À l’origine, la notion de « haie » dérive de l’ancien haut-allemand hegga, qui signifie entourer, clôturer. La haie est née pour protéger les cultures, puis a évolué vers des formes de délimitation de la propriété. Si elle a été un élément formel essentiel de l’aménagement paysager à la Renaissance, elle s’est révélée plus facile à entretenir que les bordures entièrement créées par l’homme, telles que les clôtures. Dans le manuel Hedges and Evergreens de 1856, John Aston Warder présente la haie comme un substitut de cette dernière, profitant principalement aux agriculteurs : « Et je me permets ici de proposer cette alternative agréable – utile, économique, pratique et en même temps ornementale, la clôture vivante ou la haie1. » Elle a également séparé le monde connu de l’indistinct. Joseph A. Caldwell affirme, dans son Treatise on Hedging (1870), au chapitre « Regarding Wasteland », que « nous devons faire pousser nos clôtures dans le sol fertile : ce faisant, nous n’épuisons pas d’autres ressources dont les besoins sont abondants pour les objectifs auxquels elles sont correctement adaptées2 ».

En pénétrant dans l’enceinte du CCA, on découvre la haie qui se dresse en sentinelle à l’avant de l’institution. De loin, elle masque la rangée inférieure de fenêtres (celles des bureaux du personnel), dissimulant la production institutionnelle. Elle sert aussi de socle visuel à l’espace public d’exposition distribué au-dessus de sa calotte végétale. Depuis l’intérieur, on pourrait dire que la haie joue le rôle d’horizon réconfortant. Elle incarne la bordure d’un lieu, ainsi que la protection d’un autre. Dans cette dualité, cette exploration de l’élément naturel apprivoisé devient le point de départ d’une discussion plus large sur la relation entre l’institution et son environnement immédiat. Quel est le rôle d’un objet qui sert de seuil, de trompe-l’œil ou d’« arrière-plan idéal »?


  1. John A. Warder, Hedges and Evergreens – A complete Manual for the Cultivation, Pruning, and Management of All Plants suitable for American Hedging especially the Maclura, or Osage Orange, New York, Orange Judd & Co, 1865, III. 

  2. Joseph A. Caldwell, Caldwell’s Treatise on Hedging: History of Hedging, Giving a Complete Theory of its Culture, Columbus, Ohio, Segners & Condit, 1870, 16–17.  

L’origine

Quand Diana Gerrard, Gunta Mackars, Peter Rose et Phyllis Lambert ont planifié l’aménagement paysager du CCA à la fin des années 1970, ils ont choisi de le définir comme un outil de correction. Le bâtiment et les terrains qui l’entourent ont été conçus comme une réparation urbaine d’un terrain vague marqué par la construction de l’autoroute Ville-Marie à proximité dix ans plus tôt. Dans la publication de l’institution Centre Canadien d’Architecture : architecture et paysage (1989), Phyllis Lambert a écrit : « Le nouvel aménagement avait plusieurs rôles à jouer. Il devait égayer le site et effacer les cicatrices laissées par la construction routière. Il fallait aussi que le nouveau parc et le nouveau jardin du CCA se rattachent à l’écologie et à l’histoire architecturale du site et de la ville et qu’ils tiennent compte du paysage urbain, sujet profondément méconnu dans le Montréal d’aujourd’hui1. » De nombreux éléments conceptuels inscrits dans le parc et les jardins du CCA, telles les rangées d’arbres, les haies de délimitation ou la vaste pelouse ouverte, font référence à l’ancien plan cadastral du site et à son caractère pastoral avant qu’il devienne un terrain vague2.

En 1988, afin de mieux comprendre le site, Claude Cormier et Judy Gorton ont préparé un rapport préliminaire sur le paysage qui a identifié trois périodes historiques d’association de plantes sur les terrains du CCA : les plantes indigènes, les plantes introduites par les colons européens et les cultivars (espèces génétiquement modifiées pour produire des caractéristiques particulières). Un volume relié répertoriant les espèces d’arbres susceptibles d’être sélectionnées pour les jardins du CCA a été créé afin de permettre un choix approprié. On ne sait pas qui est à l’origine de ce livre en forme de collage contenant des tirages électrophotographiques sur papier montés avec des photographies en couleurs découpées, mais le ton subjectif des brèves descriptions est surprenant. Pour la haie, il semble que l’auteur de la compilation ait fondé son choix d’Euonymus Alatus, généralement connu sous le nom de fusain ailé, sur la base de la couleur des feuilles et de sa propagation, en plus de ses très bonnes qualités générales et de sa résistance, écrivant : « La couleur automnale est généralement d’un rouge brillant. L’un des arbustes aux couleurs automnales les plus constantes, rarement décevant. Semble se colorer aussi bien dans le Midwest que dans les États de l’Est », ajoutant plus loin : « J’ai obtenu chaque fois un taux de succès de 100 % avec cette espèce et ce cultivar! »


  1. Phyllis Lambert, «Les exigences architecturale», dans Centre Canadien d’Architecture : architecture et paysage, dir. Larry Richards, Montréal, Centre Canadien d’Architecture, 1989, 65.  

  2. Si les éléments architecturaux et paysagers sont globalement des références formelles à un passé autrement non précisé, l’utilisation antérieure des terres par les Autochtones n’est pas reflétée dans la conception du bâtiment et le paysage qui l’entoure. 

Volume relié indexant les espèces d’arbres possiblement pour la sélection de plantes pour les jardins du CCA, vers 1989. ARCH289006 © CCA.

La position et l’emplacement exacts d’Euonymus Alatus, sélectionné pour un lieu géographiquement et climatiquement très éloigné de sa région d’origine, le nord-ouest de la Chine, apparaissent dans des plans de construction de 1988 de l’architecte du CCA, Peter Rose.

Les adaptations

Yves Eigenmann, Élévation du bâtiment du CCA avec une haie au premier plan, 1989. ARCH289044 © CCA.

Yves Eigenmann, Élévation du bâtiment du CCA avec une haie au premier plan, 1989. ARCH289044 © CCA.

En avril 1989, la jeune haie, plantée tout juste un an auparavant, mesurant environ quarante centimètres de hauteur et toujours en croissance pour atteindre sa taille prévue, a été photographiée par Yves Eigenmann. Dans l’image, les racines et le feuillage sont encore clairsemés, et leur granularité reflète celle de la corniche métallique élancée au sommet du bâtiment. Ce qui distingue la photographie d’Eigenmann d’autres prises un an plus tard, c’est non seulement la maturité de la haie, mais aussi la présence de trois arbres à ses extrémités est et ouest, qui ont été enlevés depuis. À la question posée sur la disparition des arbres au début des années 1990, Phyllis Lambert a répondu : « C’était une erreur, une faute; cette intervention a été très mauvaise. »

On retrouve des traces de ce changement dans l’élévation et d’autres événements liés à la haie dans une boîte aux archives institutionnelles du CCA — un recueil de dossiers contenant du matériel relatif aux Bâtiments et Terrains, dont des rapports de José-Luis Oliveros, l’ex-directeur du département, datant de 1992 à 1997. Ce matériel, qui documente le paysagement, l’entretien et le développement du parc et des jardins du CCA, est une source précieuse pour comprendre le soin apporté à leur conservation. Ce manuel, en particulier, propose une description structurée des mesures à prendre au fil des saisons et définit les exigences conceptuelles formelles pour la haie : « La haie de fusain ailé bordant le muret de soutien devant le CCA devra être taillée avec une horizontale constante sur toute sa longueur. La base devra être sensiblement plus large que le sommet pour assurer une paroi verte au sol » et « La hauteur finale se situe entre 4’6“ et 5‘0“ ».

Outre les documents plus techniques et descriptifs tels que la correspondance entre le CCA et son architecte paysagiste Claude Cormier, des résumés d’activités quotidiennes, des procès-verbaux de réunions, des analyses, des rapports et des plans concernant l’entretien et l’aménagement paysager (notamment le système d’irrigation, le drainage et la fertilisation, l’application d’herbicides et de pesticides), un grand nombre de photographies étiquetées documentent les problèmes de la haie survenus en 1995. Des polaroïds rangés dans des pochettes en plastique semblables à celles d’un album photo montrent comment la haie semble fragmentée en certains endroits, avec des trous dans sa longueur totale.

Expliquant l’intention derrière la documentation de polaroïds, José-Luis Oliveros a récemment parlé d’un hiver exceptionnellement froid en 1994/1995, pendant lequel le poids de la glace a écrasé certains arbustes. L’année suivante, ceux-ci ont dû être replantés. À l’été, un tissu noir translucide a été installé comme un petit toit pour protéger les plantes fragiles du soleil ardent. Les mesures prises à la suite de ces événements sont résumées dans un rapport de fin d’exercice : « L’installation des protections hivernales devraient [sic] éviter la répétition en 1995 des dommages causés par le gel des parties aériennes. Il a été prévu de remplacer une cinquantaine des sujets les plus affectés. (..) Le gel hivernal a ceci de pernicieux qu’il manifeste souvent ces effets sur plusieurs années de végétation. À notre avis le haies de fusain restent fragiles.[sic]»

Les dernières décennies, pour la haie, ont été caractérisées par le maintien d’un état d’équilibre. Depuis l’incident survenu au milieu des années 1990, tous les ans, fin novembre, trois employés de Clorofila Inc. construisent une protection hivernale composée de planches de bois et de toile géotextile pour la haie, afin d’éviter qu’elle ne s’ouvre ou ne soit écrasée sous le poids de la neige. La protection est retirée début avril. Toutefois, malgré l’objectif de constance (et son élagage régulier), la haie demeure un objet naturel. Elle peut sembler sous contrôle en surface, mais ses racines continuent de croître profondément dans le sol, presque invisibles — jusqu’à maintenant : le muret de rétention en direction de la pelouse a commencé à bouger. Son redressement — une entreprise délicate qui, espérons-le, ne fera pas tomber les plantes — sera achevé à la fin de l’été 2024.

La documentation

Face à une quantité croissante d’informations, j’ai pris conscience du fait que la haie, en plus d’être enracinée devant l’institution, est également enfouie dans la structure archivistique de celle-ci sous forme de dessins, documents textuels et photographies.

Des photographes ont périodiquement reçu la commande d’immortaliser les terrains du CCA. Ces documents imprimés sont conservés dans les archives du Centre; seuls quelques-uns sont accessibles au public. Clara Gutsche, David Miller, Laura Volkerding, Michel Boulet et Gabor Szilasi ont fait des images dans les années 1970 et 1980. Parmi les autres photographes, notons Richard Bryant, Richard Pare, Robert Burley, Geoffrey James et Carlos Letona. Alain Laforest a pris des photos de l’intervention de Mel Ziegler sur la pelouse dans le cadre de l’exposition Surface du quotidien : la pelouse en Amérique. En 2007, Naoya Hatakeyama, a produit des images moins classiques du bâtiment et des terrains, et n’a photographié qu’une petite bordure de la haie. Nombre de ces vues représentent la haie pleine longueur, en plongée, prise de face — mais elle n’était jamais vraiment le point de référence.

Jamais intégralement dans le cadre, elle est devenue un centre d’attention dans les années 1990. Outre les polaroïds de l’équipe des Bâtiments et Terrains, qui ont documenté les problèmes de la haie en 1994/1995, le photographe du Centre, F. Bergeron, a représenté en 1996 un autre changement de perspective. Certaines planches-contact conservées contiennent une série d’images réalisées depuis la toiture du bâtiment — ainsi qu’un égoportrait de Bergeron avec la haie en arrière-plan. Ce matériel n’est pas accessible au public, mais comme ces documents ont été archivés et décrits à l’interne avec la même précision que les projets d’exposition et de publication ou le matériel de collection et de bibliothèque, ils acquièrent la même importance, autonomie et neutralité en matière de préservation.

Bien que le CCA et son environnement — à l’exception de la maison Shaughnessy — ne soient pas désignés et conservés en tant que lieu historique national du Canada, les connaissances stockées au sein du Centre font qu’il est difficile de modifier ce qui a été enregistré, décrit et diffusé avec précision. Il est peu probable qu’une haie mal entretenue accueille un jour visiteurs et membres du personnel lors de leur entrée dans le bâtiment. Après tout, la sécurité vient avec la haie. Edward Eigen explique cette idée dans un essai de 2018, intitulé On Hedging :

« La haie [constitue] un marqueur de possession bien ancré. Elle a été adaptée à de nouveaux contextes et objectifs lors de l’implantation et la colonisation, ou plutôt de l’“amélioration” du Nouveau Monde. Mais hedging a tout aussi facilement donné son sens aux autres domaines plus incertains de la valeur et du mérite fondés, sinon équilibrés, sur la négociation du risque et du gain. Même au XVIIe siècle, to hedge est apparu comme un moyen de “garantir un pari, une mise ou une dette désespérés”. La sécurité elle-même peut être une denrée éphémère, ce qui incite encore plus à protéger ses biens. L’utilisation actuelle de hedge pour décrire un instrument d’investissement qui protège contre une perte potentielle1. »

En fait, le verbe hedge a évolué à partir du nom : tout comme on peut se cacher derrière une hedge [haie], on peut utiliser des hedge words [termes évasifs] tels que « kind of » [genre de] et « sort of » [sorte de], qui servent à transmettre l’incertitude, créer l’ambiguïté et atténuer une déclaration2. En tant que verbe, le hedging [entretien des haies] peut également être considéré comme un travail, tel que « le creusement de fossés, le nivellement, le drainage, la construction, etc. » qui maximisent le potentiel de parcelles improductives, particulièrement les plus réduites3. Le fait de mettre en lumière les personnes et les activités impliquées dans la conservation de la haie peut peut-être créer un changement de perspective sur l’institution en allant à son essence à partir de la position périphérique d’un élément effacé aux marges du territoire et des archives.


  1. Edward Eigen, « On Hedging », dans On Accident : Episodes in Architecture and Landscape, MIT Press, 2018, 78. 

  2. Sarah Diamond, « From Vegetation to Prevarication, Hedge’s Meaning Has Grown » The New York Times, 19 novembre 2023, https://www.nytimes.com/2023/11/19/insider/from-vegetation-to-prevarication-hedges-meaning-has-grown.html.  

  3. Eigen, « On Hedging », 97.  

Le monument

Au cours des derniers mois, la haie du CCA m’a servi de miroir pour accéder au Centre, à sa collection et à son fonctionnement interne et les comprendre, alors que j’ai entrepris une recherche d’investigation — ou plutôt une re-cherche — pour découvrir et en même temps situer la modeste haie au sein de l’institution dans son ensemble, pour en apprendre plus sur son milieu, son habitat naturel. J’ai aimé l’idée qu’un objet physique — original, relié à l’architecture, au contraire d’un mot-clé abstrait — puisse servir de filtre aux vastes archives à travers lesquelles il est possible de récupérer des informations. J’ai entrepris de constituer un classeur en notant les renseignements au fur et à mesure qu’ils s’accumulaient. Schématiquement organisé en dix catégories, il comprend divers documents provenant des archives du CCA, du personnel du CCA et de personnes non affiliées au CCA : archivistes, bibliothécaires, réviseurs, préposés à l’entretien, décideurs, photographes et architectes ont été de précieux alliés. Après une présentation du matériel trouvé dans la salle d’étude, le dossier a été acquis par la collection de la bibliothèque du CCA. En vue de cet article, le matériel pertinent concernant la haie a été numérisé et mis en circulation. Le recueil produit ne décrit pas seulement les pratiques d’archivage et de travail conçues par le CCA, mais se réinscrit lui-même dans ces pratiques.

Cette conservation progressive s’accompagne d’une évolution sémantique de l’objet sélectionné. Dans son essai « La Nature est invisible », Lucius Burkhardt réfléchit à l’immuabilité de la relation entre le palais de Versailles et ses jardins, élevant la permanence du végétal à l’égal de celle du minéral : « sur la terrasse, la pierre se transforme en formes organiques, en figures, en statues; ensuite apparaissent les premiers matériaux organiques, des plantes, mais sous forme d’architecture emmurée, en tant que haies. On nous prépare à une nouvelle étape entre le château et la forêt, à un nouveau passage de l’emmuré au naturel1 ». Naviguer entre des sources primaires et secondaires, des personnes et des souvenirs trouvés à l’intérieur et à l’extérieur du CCA nous incite à réfléchir à la manière dont la haie a été intégrée, adaptée et enregistrée au fil des ans, et comment elle peut maintenant être considérée comme un monument, même s’il est en grande partie méconnu. La quantité de documents archivistiques aussi surprenante que rassurante indique qu’un objet que certains considèrent comme périphérique, insignifiant, banal ou éphémère — difficile à classer entre environnement naturel et matière bâtie — est passé à travers un processus de perception, description, préoccupation, soin et, ultimement, de pétrification.


  1. Lucius Burkhardt, « La Nature est invisible », dans Anthos : Zeitschrift für Landschaftsarchitektur = Une revue pour le paysage, volume 28 (1989), cahier 3.  

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