Après trois semaines de réflexions intensives, rencontrez les participants internationaux de la résidence « Comment ne pas faire de dégâts » épuisés, alors que nous présenterons pour la première fois notre nouvelle publication. Chaque édifice empêche autre chose d’exister, de façon temporaire ou permanente. Existe-t-il des alternatives? Peut-il y avoir des constructions sans dégâts? À quelle quantité de dommages peut-on tolérer prendre part? Que signifie « tolérer » et qui décide? Y a-t-il une façon de s’en sortir?

Suite à un appel à candidatures auquel soixante-huit candidats de vingt pays ont répondu, nous avons invité huit penseurs en architecture à se réunir, à la fois en ligne et en personne, pour trois semaines de recherches intenses, d’entrevues, de discussions et de provocations. Le 16 septembre, rencontrez Bailey Morgan Brown Mitchell (Stillwater, Oklahoma), Amélie de Bonnière (Cape Town, Afrique du Sud), Loránd Mittay (Berlin, Allemagne), Mariana Meneguetti (Rio de Janeiro, Brésil), Marianna Janowicz (Londres, Angleterre), Samarth Vachhrajani(New Haven, Connecticut/Vadodara, Inde), Sophie Weston Chien (Cambridge, Massachusetts), et Swati Janu (Delhi, Inde).

Depuis 2018, la résidence annuelle « Comment » du CCA a produit des interventions dans des activités para-architecturales telles que la publication (Comment ne pas faire un magazine d’architecture), le curatorial (Comment ébranler le public), et les récompenses (Comment récompenser et punir). La résidence a été conçue comme une plateforme pour concevoir rapidement des outils en réponse à des besoins ou opportunités spécifiques, et en 2022 elle introduit un cycle de trois ans focalisé sur l’accélération des changements dans la pratique architecturale, en commençant avec des architectes hybrides (Comment ne pas devenir un promoteur).

« Comment ne pas faire de dégât » est conçu par Lev Bratishenko, conservateur, Public, CCA, et Charlotte Malterre-Barthes, professeur adjoint de design architectural et urbain à l’École Polytechnique Fédérale de Lausanne (EPFL).