Recherche

Titre:
The history of garden design : the Western tradition from the Renaissance to the present day

Actions:

• Acheter ce livre

Prix:
$67.99
(disponible sur commande)

Résumé:
The gardener labours to harmonize nature's most subtle forms with his or her own most elaborate plans. Gardens present a succession of ever-rephrased dialogues between nature and culture, design and delight, work and play. Yet they are also mutable and fragile, vulnerable to the rigors of the changing seasons. The most stimulating thought and research on the history of the garden from the fifteenth century to the present day are organized chronologically here in sections that cover the humanist garden in Renaissance Italy; the Baroque garden and classical park; picturesque, arcadian, and sublime gardens of the Enlightenment; mazes, grottoes, and other curiosities; town and city parks; and even Disneyland. In each section, individual gardens are analyzed as paradigms of their type: the Hortus Palatinus in Heidelberg, the Parc Monceau in Paris, Stowe in England, and many others, including contemporary gardens designed by Roberto Burle Marx, Ian Hamilton Finlay, and Geoffrey Jellicoe. Many hitherto unrecorded examples are detailed, and well-known aspects of the history of the garden are reinterpreted from totally new perspectives. The essays are supported by paintings, reliefs, and drawings as well as figurative illustrations and photographs. A specially commissioned series of fifty-one plans of each epoch's most significant gardens completes this survey of the evolution of the Western garden.

Titre:
Pierre Thibault: l'architecture comme paysage

Actions:

• Acheter ce livre

Prix:
$38.00
(disponible en magasin)

Résumé:
Troisième monographie par la MAQ avec l’Atelier Pierre Thibault, agence reconnue au Québec mais aussi ailleurs dans le monde. Détentrice de nombreux prix dont le Prix de Rome en architecture du Canada, l’agence la plus connue du grand public québécois célèbre ses 25 ans et se voit ici analysée et placée dans un contexte plus large par les théoriciens en histoire et architecture Georges Teyssot et Alessandra Ponte. L’œuvre est également vue et présentée à travers l’œil du cinéaste oscarisé Denys Arcand et du photographe attitré de l’architecte depuis un quart de siècle, Alain Laforest (plus de 100 photos couleurs dans une section bonus spéciale).

Titre:
Une topologie du quotidien

Actions:

• Acheter ce livre

Prix:
$52.00
(disponible sur commande)

Résumé:
Aujourd’hui une cartographie devient nécessaire, afin de retracer la frontière entre extérieur et intérieur, privé et public, sédentaire et nomade. La maison n’est pas seulement une demeure, elle est aussi un terrain pour les transactions multiples entre diverses sphères – le domaine de la technologie et de la physiologie, comme celui de la psyché. Dans Une topologie du quotidien, Georges Teyssot observe comment opère le brouillage des notions de privé, d’intimité – et d’extimité dans nos sociétés. Les seuils sont autant de marques traçant des limites apparemment infranchissables, mais ils offrent également des passerelles vers l’extérieur. Le dilemme entre la frontière et le pont ouvre un espace de l’entre-deux, où l’on peut entrer, un «mi-lieu» offrant les possibilités d’échange. Georges Teyssot examine la porte, la fenêtre, le miroir et l’écran?: des espaces interstitiels divisant le monde en deux, formant des jeux de surface dont la géométrie est de nature topologique. En définitive, le corps habite-t-il encore la demeure – ou est-ce le logement qui, évoluant en des dispositifs microscopiques, habite le corps?

Titre:
A topology of everyday constellations

Actions:

• Acheter ce livre

Prix:
$39.95
(disponible sur commande)

Résumé:
Today, spaces no longer represent a bourgeois haven; nor are they the sites of a classical harmony between work and leisure, private and public, the local and the global. The house is not merely a home but a position for negotiations with multiple spheres — the technological as well as the physical and the psychological. In A Topology of Everyday Constellations, Georges Teyssot considers the intrusion of the public sphere into private space, and the blurring of notions of interior, privacy, and intimacy in our societies. He proposes that we rethink design in terms of a new definition of the practices of everyday life. Teyssot considers the door, the window, the mirror, and the screen as thresholds or interstitial spaces that divide the world in two: the outside and the inside. Thresholds, he suggests, work both as markers of boundaries and as bridges to the exterior. The stark choice between boundary and bridge creates a middle space, an in-between that holds the possibility of exchanges and encounters. If the threshold no longer separates public from private, and if we can no longer think of the house as a bastion of privacy, Teyssot asks, does the body still inhabit the house — or does the house, evolving into a series of microdevices, inhabit the body?

Titre:
Walter Benjamin : les maisons oniriques

Actions:

• Acheter ce livre

Prix:
$36.00
(disponible sur commande)

Résumé:
À la recherche des « images de pensée » (Denkbilder), Walter Benjamin instaure un procédé efficace de correspondance entre rêve et architecture, une idée qu'il tenait du surréalisme. On a pu parler d'oniromancie à l'envers, car son point de départ est matériel : il part des choses, des objets, des lieux, des endroits, des atmosphères pour mettre en lumière leurs caractères irrationnels. Une telle théorie décrit précisément les relations fantastiques se créant par l'assemblage d'articles luxueux, d'objets d'art anciens, de pièces de collection, de bibelots passés de mode, de colifichets frivoles, de fragments dépareillés, d'images surannées ou encore d'instruments tombés en désuétude. Tout cela forme un milieu peuplé d'objets et de gens, capable d'engendrer un paysage onirique et conduisant à une expérience agoraphobique, intériorisée. Ici, le spectateur est à la recherche du temps perdu, et les objets sont comme des alambics filtrant la durée. Procédant à la radiographie de la « maison de rêve » (Traumhaus), Benjamin offre un catalogue précis des meubles oniriques qui en hantent les espaces clos.