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Prix:
$19.95
(disponible en magasin)
Résumé:
Quiconque visite le Musée national des beaux-arts du Québec ne peut s’empêcher de déambuler dans le bâtiment de l’ancienne prison des plaines, aujourd’hui reconvertie en pavillon muséal Charles-Baillairgé qui abrite des expositions permanentes. Peu de gens savent toutefois que la prison a été en activité jusqu’à l’automne 1970. Construite un siècle plus tôt dans le(...)
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Résumé:
Quiconque visite le Musée national des beaux-arts du Québec ne peut s’empêcher de déambuler dans le bâtiment de l’ancienne prison des plaines, aujourd’hui reconvertie en pavillon muséal Charles-Baillairgé qui abrite des expositions permanentes. Peu de gens savent toutefois que la prison a été en activité jusqu’à l’automne 1970. Construite un siècle plus tôt dans le(...)
Titre:
La prison des plaines d'Abraham, 1863-1877
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Prix:
$19.95
(disponible en magasin)
Résumé:
Quiconque visite le Musée national des beaux-arts du Québec ne peut s’empêcher de déambuler dans le bâtiment de l’ancienne prison des plaines, aujourd’hui reconvertie en pavillon muséal Charles-Baillairgé qui abrite des expositions permanentes. Peu de gens savent toutefois que la prison a été en activité jusqu’à l’automne 1970. Construite un siècle plus tôt dans le contexte d’une vaste réforme du système carcéral québécois, la prison des plaines devait être un modèle pénitentiaire. On pensait pouvoir y réhabiliter les déviants par le travail, la discipline et la morale religieuse. Mais entre la théorie et la pratique, il y aura un large fossé. Comme le souligne John R. Porter dans sa préface, cet établissement deviendra «un lieu où les préoccupations relatives à la sécurité et à l’hygiène des prisonniers prirent vite le pas sur les efforts de réhabilitation».
La prison des plaines d'Abraham, 1863-1877
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$19.95
(disponible en magasin)
Résumé:
Quiconque visite le Musée national des beaux-arts du Québec ne peut s’empêcher de déambuler dans le bâtiment de l’ancienne prison des plaines, aujourd’hui reconvertie en pavillon muséal Charles-Baillairgé qui abrite des expositions permanentes. Peu de gens savent toutefois que la prison a été en activité jusqu’à l’automne 1970. Construite un siècle plus tôt dans le contexte d’une vaste réforme du système carcéral québécois, la prison des plaines devait être un modèle pénitentiaire. On pensait pouvoir y réhabiliter les déviants par le travail, la discipline et la morale religieuse. Mais entre la théorie et la pratique, il y aura un large fossé. Comme le souligne John R. Porter dans sa préface, cet établissement deviendra «un lieu où les préoccupations relatives à la sécurité et à l’hygiène des prisonniers prirent vite le pas sur les efforts de réhabilitation».
Classification:
livres
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Publication:
avril 2007, Sillery
avril 2007, Sillery
Sujet:
Architecture du Québec
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