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En matière d’architecture, la « propriété privée » instaure une coupure pour se priver du monde et priver le monde d’une de ses parts. Concept juridique fondamentalement contradictoire, la propriété revêt un caractère absolu qu’il s’agit de relativiser, de limiter, et de circonscrire, dans le même moment. Mur, clôture, haie, ou simple signe, les formes architecturales de(...)
Plan L**** 209: Limites de propriétés
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En matière d’architecture, la « propriété privée » instaure une coupure pour se priver du monde et priver le monde d’une de ses parts. Concept juridique fondamentalement contradictoire, la propriété revêt un caractère absolu qu’il s’agit de relativiser, de limiter, et de circonscrire, dans le même moment. Mur, clôture, haie, ou simple signe, les formes architecturales de propriété se manifestent en bordure pour en instaurer le contour et instituer le domaine. Ce sont ces limites de propriété, physiques et juridiques, sources de conflits et d’inventions qui sont les protagonistes récurrentes de ce numéro.
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En considérant l’histoire académique de l’architecture, une peinture sert toujours d’argument d’autorité pour expliciter un courant, un moment. En un coup d’œil, la peinture résume. Elle dépasse son contexte d’émergence et devient ce que d’aucuns en veulent. L’historiographie apprécie ces accointances géné- rationnelles entre les architectes et les peintres. Les travaux y(...)
Plan L**** 208: Assembler le radeau
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En considérant l’histoire académique de l’architecture, une peinture sert toujours d’argument d’autorité pour expliciter un courant, un moment. En un coup d’œil, la peinture résume. Elle dépasse son contexte d’émergence et devient ce que d’aucuns en veulent. L’historiographie apprécie ces accointances géné- rationnelles entre les architectes et les peintres. Les travaux y deviennent les témoins d’une affinité tant amicale, théorique et sociale. L’effet de loupe d’un détail ignoré, d’une anecdote, prend alors la vigueur de tout ce qui passe à travers cette appropriation. Inaugurant les catalogues des expositions marquantes, ces reproductions convoquent de nouveaux imaginaires, souvent en réaction à la période précédente. Les formats et la facture des tableaux disparaissent. Seule demeure une petite vignette. Elle illustre les propos de l’auteur·ice et donne une clé de lecture aux projets de la publication qu’elle précède.
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En énonçant « perdre le pouvoir » comme titre et injonction, nous espérions recevoir de la part des contributeur·ices invité·es des éloges de la faiblesse comme façons d’agir en architecture. Nous pensions que de ce « devenir faible » pouvait émerger des attitudes de conception informelles, plus agiles et délestées du statut de l’auteur·e architecte. Un mode mineur, qui(...)
Plan L**** 206 : Perdre le pouvoir
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En énonçant « perdre le pouvoir » comme titre et injonction, nous espérions recevoir de la part des contributeur·ices invité·es des éloges de la faiblesse comme façons d’agir en architecture. Nous pensions que de ce « devenir faible » pouvait émerger des attitudes de conception informelles, plus agiles et délestées du statut de l’auteur·e architecte. Un mode mineur, qui laisserait de côté la gloire des concepteur·ices pour des récits nouveaux, circonstanciés et sans héro·ïnes. Ce n’est pas ce qu’il s’est passé. Ou du moins cette nouvelle diplomatie du projet et ses quelques conclusions hâtives se retrouvent par bribes, disséminées dans les textes, au détour d’un récit de projet, d’expériences militante et pédagogique, de considérations historiques. Ce que partage l’ensemble des contributions est d’énoncer l’architecture, au sens le plus élargi du terme, de l’objet au territoire, comme site de reconfiguration permanente des enjeux de pouvoir. Ce pouvoir qui se trouve qualifié selon les circonstances, de normatif, d’institutionnel, de néolibéral, de colonial, de sexiste, de raciste, de spéciste… L’architecture, celle que l’on pratique ou que l’on conçoit, y est décrite comme un terrain de luttes souvent invisibles, cachées dans les faits architecturaux les plus anodins, toujours baignées de politique, quand bien même elle se présente sans atours et triviale.
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