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Titre:
La bibliothèque de l'Amateur : Alvar Aalto

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Prix:
$37.95
(disponible en magasin)

Résumé:
Alvar Aalto (1898-1976) est à la Finlande ce que Picasso est à l'Espagne ou James Joyce à l'Irlande. Architecte, il a dessiné et construit des bâtiments, des luminaires, de la vaisselle et des meubles, autant de créations qui désormais symbolisent le pays des 180 000 lacs. Plus que tout, il a fait de la courbe sa signature, puisant son inspiration dans la nature, jouant de la lumière rasante du soleil de minuit, magnifiant la neige et les forêts de bouleaux. Né à une époque où l'éclectisme régnait en maître, il a au fil des années parcouru les styles, du romantisme national au modernisme pur et dur, avant d'assouplir son oeuvre en s'ouvrant à l'humanisme. Alvar Aalto, ou l'architecture réenchantée.

Titre:
L'UFR de chimie Paris VIII: Agence X-TU

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Prix:
$31.95
(disponible sur commande)

Résumé:
La prégnance de l'UFR de chimie Lavoisier tient à l'alliance subtile de ses matériaux et à sa fusion spatiale avec la Zac Masséna. Ouvert sur la future avenue de France, ce bâtiment intègre un passage public, le premier du genre sur ce campus parisien. La force architecturale de cette université oxygène et magnifie les perspectives du quartier en devenir.

Titre:
Megalomania, too much is never enough

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Prix:
$55.00
(disponible sur commande)

Résumé:
A phenomenon as old as humanity, megalomania has become, now more than ever, an attitude reflective of our contemporary culture. It reveals a universal desire: to be noticed and unique, political and dangerous. In this book, Philippe Tretiack casts his humorous and scathing eye over a gallery of megalomaniacs who push the envelope, paying alarmed homage to these high priests of excess and their dazzling displays of eccentricity. From power-grasping leaders to rappers bedecked in bling, from showbiz stars to bloodthirsty war chiefs to decadent dandies, Megalomania shakes up the artists of this new nihilism, in which materialism flirts with mortality. Megalomania: extravagance as a dare.

Titre:
L'architecture à toute vitesse

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Prix:
$37.95
(disponible sur commande)

Résumé:
De l’Iran à la Chine, de Beyrouth à Rio, des îles Grecques au Texas, Philippe Trétiack parcourt le monde pour y récolter autant de règles d’architecture que d’histoires. En voici 56, échevelées, dures et exotiques, concrètes et désopilantes. Après son fameux Faut-il pendre les architectes ? nous voici pris sous le feu de snippers à Abidjan, envoûtés par une danseuse du ventre au Caire, précipités dans des émeutes à Buenos Aires, ficelés dans un side-car de compétition, terrifiés par le Président Poutine à Moscou… Manuel de globe-trotter et de déconstruction mené à cent à l’heure, L’Architecture à toute vitesse fait de l’irrévérence une vertu, et transforme l’architecture en une réflexion personnelle sur un monde absurde où les portes claquent comme des coups de feu.

Titre:
Faut-il pendre les architectes?

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Prix:
$15.95
(disponible sur commande)

Résumé:
Les architectes sont-ils nuls ? Beaucoup le pensent.Devant le spectacle affligeant de la Bibliothèque de France, la désolation des quartiers sur dalle, à Montparnasse, Beaugrenelle, Euralille, la prétention du ministère des Finances, la pesante médiocrité de l’Opéra Bastille, la folie des grandeurs du quartier « Odysseum » de Montpellier, les quartiers de barres et de tours…, on ne peut que faire chorus avec la foule. Pourtant le jugement est expéditif. L’architecte est un bouc émissaire facile. Il y a d’autres coupables : maires mégalomanes, entreprises déficientes, fait du prince, concours biaisés, juridiction écrasante, pots-de-vin, inculture des maîtres d’ouvrages et poujadisme du public. Faut-il pendre les architectes ? dresse le constat sévère d’un milieu et d’un système qui n’en finissent pas de produire des erreurs monumentales. Les architectes qui s’en sortent n’en sont que plus méritants. On peut se pendre à leur cou.