$25.95
(disponible sur commande)
Résumé:
Twelve essays written between 1928 and 1945 that demonstrate key points in the development of Eisenstein's film theory and in particular his analysis of the sound-film medium. Edited, translated, and with an introduction by Jay Leyda; Index; photographs and diagrams.
Film form: essays in film theory
Actions:
Prix:
$25.95
(disponible sur commande)
Résumé:
Twelve essays written between 1928 and 1945 that demonstrate key points in the development of Eisenstein's film theory and in particular his analysis of the sound-film medium. Edited, translated, and with an introduction by Jay Leyda; Index; photographs and diagrams.
Expositions en cours
$24.99
(disponible en magasin)
Résumé:
C'est à Berlin, en 1926, que le réalisateur russe S. M. Eisenstein découvre l'utilisation architecturale du verre et la place qu'il occupe dans un certain nombre d'utopies de réconciliation sociale (Gropius, Mies van der Rohe, Le Corbusier…). C'est alors qu'il envisage de réaliser Glass House, un projet inabouti dont il ne reste aujourd'hui que ses notes de travail,(...)
Glass house: du projet de film au film comme projet S. M. Eisenstein
Actions:
Prix:
$24.99
(disponible en magasin)
Résumé:
C'est à Berlin, en 1926, que le réalisateur russe S. M. Eisenstein découvre l'utilisation architecturale du verre et la place qu'il occupe dans un certain nombre d'utopies de réconciliation sociale (Gropius, Mies van der Rohe, Le Corbusier…). C'est alors qu'il envisage de réaliser Glass House, un projet inabouti dont il ne reste aujourd'hui que ses notes de travail, publiées dans cet ouvrage. Un projet pourtant tenté à Hollywood lorsqu'Eisenstein imagina la conception d'un gratte-ciel en verre où tous seraient soumis au regard de tous, où chacun serait renvoyé à sa solitude par soumission aux valeurs capitalistes, et où la question de l'aliénation sociale se mêlerait à celle du «trouble dans le genre» au travers de personnages venus tout droit de la tradition berlinoise du cabaret. Charlie Chaplin, fasciné par cette anti-utopie où lumière et transparence aboutissent à la coercition et à la mort, avait alors soutenu le réalisateur russe. Ce n'est donc pas un hasard si, dans Le Dictateur, Hinckel avoue à Napaloni être amateur de «moderne» et vouloir mettre partout des parois et plafonds en verre. Mais Glass House fut également un projet de cinéma : un cinéma échappant aux lois de la pesanteur, à l'héritage de la peinture naturaliste et à l'architecture traditionnelle, qui conduisit Eisenstein à une réflexion esthétique sur les thèmes du polycentrisme et de l'hétérotopie – thèmes que l'art moderne et contemporain ne cesseront jamais de travailler.