$29.95
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Ce livre se propose de sauver la puissance de dérangement que constitue l'œuvre de Guy Debord : y sont examinés entre autres la fin de l’art et la fin de la politique, sa lecture de Marx, sa contribution à la réflexion historique, les parallélismes possibles (ou pas) avec les écrits de Theodor Adorno, Hannah Arendt et Jean Baudrillard. Sa curieuse récupération par le(...)
Un complot permanent contre le monde entier : Essais sur Guy Debord
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$29.95
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Résumé:
Ce livre se propose de sauver la puissance de dérangement que constitue l'œuvre de Guy Debord : y sont examinés entre autres la fin de l’art et la fin de la politique, sa lecture de Marx, sa contribution à la réflexion historique, les parallélismes possibles (ou pas) avec les écrits de Theodor Adorno, Hannah Arendt et Jean Baudrillard. Sa curieuse récupération par le monde de l’art y est évoquée, ainsi que la question de son «actualité». Les gens les plus différents se revendiquent de Debord et des situationnistes : il convient de leur rappeler que l’auteur de «La Société du spectacle» a toujours voulu s’opposer au monde entier, ou presque. Après la lecture de ces textes, les historiens comme les artistes, les militants comme les cinéastes se demanderont s’ils ont bien fait de compter Debord parmi leurs amis.
Théorie/ philosophie
$19.95
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Western thinking has long been dominated by essence, by a preoccupation with that which dwells in itself and delimits itself from the other. By contrast, Far Eastern thought is centred not on essence but on absence. The fundamental topos of Far Eastern thinking is not being but ‘the way’ (dao), which lacks the solidity and fixedness of essence. The difference between(...)
Absence: On the culture and philosophy of the Far East
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Résumé:
Western thinking has long been dominated by essence, by a preoccupation with that which dwells in itself and delimits itself from the other. By contrast, Far Eastern thought is centred not on essence but on absence. The fundamental topos of Far Eastern thinking is not being but ‘the way’ (dao), which lacks the solidity and fixedness of essence. The difference between essence and absence is the difference between being and path, between dwelling and wandering. '‘A Zen monk should be without fixed abode, like the clouds, and without fixed support, like water’', said the Japanese Zen master Dogen. Drawing on this fundamental distinction between essence and absence, Byung-Chul Han explores the differences between Western and Far Eastern philosophy, aesthetics, architecture and art, shedding fresh light on a culture of absence that may at first sight appear strange and unfamiliar to those in the West whose ways of thinking have been shaped for centuries by the preoccupation with essence.
Théorie/ philosophie
$37.99
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In "The effluent eye," Rosemary J. Jolly argues for the decolonization of human rights, attributing their failure not simply to state and institutional malfeasance but to the very concept of human rights as anthropocentric-and, therefore, fatally shortsighted. In an engaging mix of literary and cultural criticism, Indigenous and Black critique, and substantive forays into(...)
The effluent eye: Narratives for decolonial right-making
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In "The effluent eye," Rosemary J. Jolly argues for the decolonization of human rights, attributing their failure not simply to state and institutional malfeasance but to the very concept of human rights as anthropocentric-and, therefore, fatally shortsighted. In an engaging mix of literary and cultural criticism, Indigenous and Black critique, and substantive forays into the medical humanities, Jolly proposes right-making in the demise of human rights. Using what she calls an "effluent eye," Jolly draws on "Fifth Wave" structural public health to confront the concept of human rights-one of the most powerful and widely entrenched liberal ideas. She builds on Indigenous sovereignty work from authors such as Robin Wall Kimmerer, Leanne Betasamosake Simpson, and Mark Rifkin as well as the littoral development in Black studies from Christine Sharpe, Saidiya Hartman, and Tiffany Lethabo King to engage decolonial thinking on a range of urgent topics such as pandemic history and grief; gender-based violence and sexual assault; and the connections between colonial capitalism and substance abuse, the Anthropocene, and climate change. Combining witnessed experience with an array of decolonial texts, Jolly argues for an effluent form of reading that begins with the understanding that the granting of "rights" to individuals is meaningless in a world compromised by pollution, poverty, and successive pandemics.
Théorie/ philosophie
$24.95
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Dans ce nouveau livre, László Földényi recrée le rêve de la ville idéale à travers l'histoire et son destin inéluctable : la ruine, « qui marche comme un spectre à travers la perfection immaculée, » la ruine, comme « un filigrane dans la structure des édifices destinés à l'éternité. » Du totalitarisme à la peinture de la Renaissance ou aux peintures métaphysiques sur(...)
Les espaces de la mort vivante : Kafka, De Chirico et les autres
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Dans ce nouveau livre, László Földényi recrée le rêve de la ville idéale à travers l'histoire et son destin inéluctable : la ruine, « qui marche comme un spectre à travers la perfection immaculée, » la ruine, comme « un filigrane dans la structure des édifices destinés à l'éternité. » Du totalitarisme à la peinture de la Renaissance ou aux peintures métaphysiques sur lesquelles de Chirico a travaillé pendant la Première Guerre mondiale, en passant par la perfection descriptive des espaces bureaucratiques de Kafka, où la mort, la vie et le sommeil s'amalgament. László Földényi affiche une capacité de réflexion qui enrichit sans aucun doute celle des lecteurs et le confirme comme l'un des plus brillants essayistes et historiens des idées en Europe aujourd'hui.
Théorie/ philosophie
$57.95
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Voici le premier livre en français sur Aby Warburg (1866-1929). Fondateur de la discipline iconologique, créateur du prestigieux institut qui porte son nom, Warburg a compté parmi ses disciples les plus célèbres historiens d'art du siècle : E. Panofsky, E. Wind, F. Saxl... Avec Warburg, l'histoire de l'art n'opère plus aux confins de l'anthropologie : elle en est une(...)
Aby Warburg et l'image en mouvement
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Voici le premier livre en français sur Aby Warburg (1866-1929). Fondateur de la discipline iconologique, créateur du prestigieux institut qui porte son nom, Warburg a compté parmi ses disciples les plus célèbres historiens d'art du siècle : E. Panofsky, E. Wind, F. Saxl... Avec Warburg, l'histoire de l'art n'opère plus aux confins de l'anthropologie : elle en est une catégorie. Plutôt que leur beauté, il met en évidence l'efficacité des images. Ses mots clés sont : survivance, magie, astrologie, empathie, animisme, totémisme... À trente ans, en 1896, par un geste raisonné de rupture, il se rend chez les Hopis du Nouveau-Mexique. Étrange parcours mélancolique d'un historien qui va trouver dans les rituels des Indiens pueblos les réponses aux énigmes que lui posait la Renaissance de l'Occident. À partir de 1924, Warburg élabore avec son Atlas intitulé Mnémosyne une «histoire de l'art sans texte» qui procède par juxtaposition de documents empruntés à tous les champs du savoir, esquisse mystérieuse d'un nouveau type d'exposé et d'exposition, loin des généalogies établies. L'ouvrage de Philippe-Alain Michaud n'est pas seulement un livre sur Warburg, c'est un livre avec Warburg - dont il prolonge les intuitions en introduisant dans son analyse le daguerréotype, les expériences de Marey, le cinéma primitif, la danse de Loïe Fuller, toutes pratiques qui affleurent dans l'interprétation warburgienne des images et qui en éclairent la singularité. Philippe-Alain Michaud, ancien élève de l'École normale de Saint-Cloud, est philosophe de formation. Warburg et l'image en mouvement est son premier livre.
Théorie/ philosophie
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Plus la crise écologique s'aggrave, plus l'écologie devient une idéologie dominante. Elle nous promet un monde « décarboné » grâce au tout-électrique, au tout-numérique et au « nucléaire vert ». Mais capitalisme et écologie sont incompatibles. Le capitalisme repose sur l'exploitation de prolétaires dans des entreprises forcées par la concurrence d'accumuler plus de valeur(...)
Pommes de terre contre gratte-ciel : Critique de l'écologie politique
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Plus la crise écologique s'aggrave, plus l'écologie devient une idéologie dominante. Elle nous promet un monde « décarboné » grâce au tout-électrique, au tout-numérique et au « nucléaire vert ». Mais capitalisme et écologie sont incompatibles. Le capitalisme repose sur l'exploitation de prolétaires dans des entreprises forcées par la concurrence d'accumuler plus de valeur que leurs rivales. La quête incessante de productivité entraîne surproduction, surconsommation... aux effets destructeurs pour les prolétaires, pour l'humanité et pour la planète. Il n'y aura pas de « révolution écologique » sans révolution sociale qui rompt avec les rapports de classe.
Théorie/ philosophie
L'empire des signes
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Pourquoi le Japon ? Parce que c'est le pays de l'écriture: de tous les pays que l'auteur a pu connaître, le Japon est celui où il a rencontré le travail du signe le plus proche de ses convictions et de ses fantasmes, ou, si l'on préfère, le plus éloigné des dégoûts, des irritations et des refus que suscite en lui la sémiocratie occidentale. Le signe japonais est fort :(...)
L'empire des signes
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Pourquoi le Japon ? Parce que c'est le pays de l'écriture: de tous les pays que l'auteur a pu connaître, le Japon est celui où il a rencontré le travail du signe le plus proche de ses convictions et de ses fantasmes, ou, si l'on préfère, le plus éloigné des dégoûts, des irritations et des refus que suscite en lui la sémiocratie occidentale. Le signe japonais est fort : admirablement réglé, agencé, affiché, jamais naturalisé ou rationalisé. Le signe japonais est vide: son signifié fuit, point de dieu, de vérité, de morale au fond de ces signifiants qui règnent sans contrepartie. Et surtout, la qualité supérieure de ce signe, la noblesse de son affirmation et la grâce érotique dont il se dessine sont apposées partout, sur les objets et sur les conduites les plus futiles, celles que nous renvoyons ordinairement dans l'insignifiance ou la vulgarité. Le lieu du signe ne sera donc pas cherché ici du côté de ses domaines institutionnels: il ne sera question ni d'art, ni de folklore, ni même de «civilisation» (on n'opposera pas le Japon féodal au Japon technique). Il sera question de la ville, du magasin, du théâtre, de la politesse, des jardins, de la violence; il sera question de quelques gestes, de quelques nourritures, de quelques poèmes; il sera question des visages, des yeux et des pinceaux avec quoi tout cela s'écrit mais ne se peint pas.
Théorie/ philosophie
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The Utopie group was born in 1966 at Henri Lefebvre's house in the Pyrenees. The eponymous journal edited by Hubert Tonka brought together sociologists Jean Baudrillard, René Lourau, and Catherine Cot, architects Jean Aubert, Jean-Paul Jungmann, Antoine Stinco, and landscape architect Isabelle Auricoste. Over the next decade, both in theory and in practice, the group(...)
Utopia deferred : Jean Baudrillard, writings for Utopie (1967-1978)
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The Utopie group was born in 1966 at Henri Lefebvre's house in the Pyrenees. The eponymous journal edited by Hubert Tonka brought together sociologists Jean Baudrillard, René Lourau, and Catherine Cot, architects Jean Aubert, Jean-Paul Jungmann, Antoine Stinco, and landscape architect Isabelle Auricoste. Over the next decade, both in theory and in practice, the group articulated a radical ultra-leftist critique of architecture, urbanism, and everyday life. "Utopia deferred" collects all of the essays Jean Baudrillard published in Utopie as well as recent interviews with Jean Baudrillard and Hubert Tonka. Utopie served as a workshop for Baudrillard's thought. Many of the essays he first published in Utopie were seminal for some of his books: "For a critique of the political economy of the sign", "The mirror of production", "Simulations", "Symbolic exchange and death", and "In the shadow of the silent majorities". But Utopie was also a topical journal and a political one; the topics of these essays are often torn from the headlines of the tumultuous decade following the uprisings of May 1968.
Théorie/ philosophie
livres
Slow is beautiful
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This book analyzes the subtle consumer, political and corporate forces stamping the joy from our existence and provides a vision of a more fulfilling life through the rediscovery of caring community, unhurried leisure, and life affirming joie de vivre.
Slow is beautiful
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$19.95
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This book analyzes the subtle consumer, political and corporate forces stamping the joy from our existence and provides a vision of a more fulfilling life through the rediscovery of caring community, unhurried leisure, and life affirming joie de vivre.
livres
octobre 2006
Théorie/ philosophie
livres
The future of nostalgia
$27.99
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Combining personal memoir, philosophical essay, and historical analysis, Svetlana Boym explores the spaces of collective nostalgia that connect national biography and personal self-fashioning in the twenty-first century. She guides us through the ruins and construction sites of post-communist cities-St. Petersburg, Moscow, Berlin, and Prague-and the imagined homelands of(...)
The future of nostalgia
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$27.99
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Combining personal memoir, philosophical essay, and historical analysis, Svetlana Boym explores the spaces of collective nostalgia that connect national biography and personal self-fashioning in the twenty-first century. She guides us through the ruins and construction sites of post-communist cities-St. Petersburg, Moscow, Berlin, and Prague-and the imagined homelands of exiles-Benjamin, Nabokov, Mandelstahm, and Brodsky. From Jurassic Park to the Totalitarian Sculpture Garden, Boym unravels the threads of this global epidemic of longing and its antidotes.
livres
avril 2002, New York
Théorie/ philosophie