Loger à la même adresse : Conjuguer nos forces face à la crise du logement, l'isolement et la pauvre
$21.95
(disponible en magasin)
Résumé:
Avez-vous déjà rêvé de vieillir entre ami·es ? Peut-être auriez-vous chacun·e votre petit logement, dans une grande bâtisse où une cuisine spacieuse, un chaleureux salon et divers espaces communs vous permettraient de partager votre quotidien. Si de telles aspirations vous animent, c’est que vous rêvez de vivre en communauté intentionnelle. Commune, cohabitat, habitat(...)
Loger à la même adresse : Conjuguer nos forces face à la crise du logement, l'isolement et la pauvre
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$21.95
(disponible en magasin)
Résumé:
Avez-vous déjà rêvé de vieillir entre ami·es ? Peut-être auriez-vous chacun·e votre petit logement, dans une grande bâtisse où une cuisine spacieuse, un chaleureux salon et divers espaces communs vous permettraient de partager votre quotidien. Si de telles aspirations vous animent, c’est que vous rêvez de vivre en communauté intentionnelle. Commune, cohabitat, habitat participatif, écovillage… ces communautés portent de nombreux noms. Elles ont en commun d’offrir une manière de vivre qui sort des sentiers battus. Et, sans faire trop de vagues, elles permettent d’expérimenter une manière d’habiter résolument tournée vers l’avenir. Avec cet essai de réparation, l’autrice cherche à défaire les préjugés qui collent encore à la peau des communautés intentionnelles, dans l’espoir que ce mode de vie devienne accessible à toutes celles et ceux qui y aspirent sans le savoir.
L'humain et la ville
$42.95
(disponible sur commande)
Résumé:
Consacré à la crise du logement, cet ouvrage développe un point de vue considérant l'habitat comme un champ animé par une pluralité d'acteurs aux intérêts et aux valeurs divergents. Les auteurs proposent une grille de lecture tenant compte, notamment, de la genèse des formes, de la cristallisation d'un cercle d'acteurs et de la constitution d'un cadre normatif.
L'archipel résidentiel: Logements et dynamiques urbaines
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$42.95
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Résumé:
Consacré à la crise du logement, cet ouvrage développe un point de vue considérant l'habitat comme un champ animé par une pluralité d'acteurs aux intérêts et aux valeurs divergents. Les auteurs proposent une grille de lecture tenant compte, notamment, de la genèse des formes, de la cristallisation d'un cercle d'acteurs et de la constitution d'un cadre normatif.
Logements collectifs
$32.95
(disponible sur commande)
Résumé:
Le logement est l’espace dans lequel chacun d’entre nous passe le plus clair de son temps, l’espace qui nous construit, conditionne nos réussites comme nos échecs et fait de nous ce que nous sommes. Il est en outre celui auquel nous consacrons une part majeure de nos dépenses. D’un côté, nous vivons une profonde crise sociale, où les plus fragiles risquent de ne plus(...)
L'Habitat fait le citoyen : Le logement, entre crise sociale et crise environnementale
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$32.95
(disponible sur commande)
Résumé:
Le logement est l’espace dans lequel chacun d’entre nous passe le plus clair de son temps, l’espace qui nous construit, conditionne nos réussites comme nos échecs et fait de nous ce que nous sommes. Il est en outre celui auquel nous consacrons une part majeure de nos dépenses. D’un côté, nous vivons une profonde crise sociale, où les plus fragiles risquent de ne plus pouvoir se loger dans des conditions décentes, de l’autre, nous faisons face à une urgence écologique qui nous oblige à prendre des mesures drastiques pour préserver notre avenir. Les opposer systématiquement est absurde, irresponsable et stérile, alors que nous avons tout à la fois le pouvoir et le devoir d’améliorer le quotidien des Français. Si nous ne voulons pas vivre assis sur une bombe sociale à retardement, chacun doit avoir accès à un logement lui permettant de se construire une belle vie, car, au fond, c’est le logement qui fait le citoyen.
L'humain et la ville
$17.95
(disponible sur commande)
Résumé:
Année après année, la campagne française disparaît sous la ville : la terre fertile se raréfie, les espaces naturels se morcellent, la ville s’éparpille et se cloisonne, l’automobile s’impose comme unique lien social. Le phénomène, connu sous le nom d’étalement urbain, ne résulte pas seulement de la crise du logement et du désir d’accession à la propriété. La ville(...)
La tentation du bitume : où s'arrêtera l'étalement urbain ?
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$17.95
(disponible sur commande)
Résumé:
Année après année, la campagne française disparaît sous la ville : la terre fertile se raréfie, les espaces naturels se morcellent, la ville s’éparpille et se cloisonne, l’automobile s’impose comme unique lien social. Le phénomène, connu sous le nom d’étalement urbain, ne résulte pas seulement de la crise du logement et du désir d’accession à la propriété. La ville étalée se nourrit, en France comme ailleurs, d’une économie opulente et d’une société qui valorise le bonheur individuel, à court terme de préférence. Autrement dit, nous sommes tous responsables. Les auteurs brossent dans cet essai un portrait sans concession de la bataille inégale qui se livre entre la soif de bitume et les rares garde-fous susceptibles de contrer le phénomène. Édition de poche qui reprend intégralement le texte publié en 2012 afin de maintenir disponible un livre salué pour sa pertinence et sa pédagogie.
Théorie de l’urbanisme
$28.00
(disponible en magasin)
Résumé:
La crise du logement frappe durement la population du Québec. Et dès qu’il est question de cet enjeu, le nom du FRAPRU vient immédiatement en tête. Depuis sa création en 1978, le Front d’action populaire en réaménagement urbain est un acteur incontournable des luttes citoyennes en matière d’habitation. Entre la construction d’un bidonville devant l’Assemblée nationale, un(...)
Dans la rue : Une histoire du FRAPRU et des luttes pour le logement au Québec
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$28.00
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Résumé:
La crise du logement frappe durement la population du Québec. Et dès qu’il est question de cet enjeu, le nom du FRAPRU vient immédiatement en tête. Depuis sa création en 1978, le Front d’action populaire en réaménagement urbain est un acteur incontournable des luttes citoyennes en matière d’habitation. Entre la construction d’un bidonville devant l’Assemblée nationale, un campement sur la rivière des Outaouais en hiver, les manifestations, les occupations et les spectacles, les actions du FRAPRU ne laissent jamais indifférents. Le FRAPRU est issu des premiers comités citoyens nés dans les années 1960?–?1970 en réaction aux projets de rénovation urbaine qui éventraient les centres-villes et en chassaient les classes populaires au nom du progrès. Aujourd’hui, il est actif sur le front du logement et de la défense des droits sociaux, comme la lutte contre la pauvreté ou le financement des services publics. François Saillant, qui en a été le porte-parole pendant près de 38 ans, raconte ici l’histoire de ce regroupement qui est parvenu, malgré des moyens modestes, à influencer certaines politiques publiques afin d’éviter des reculs majeurs en matière de droit au logement et de justice sociale. Cette plongée historique permet de mesurer l’impact des décisions politiques passées sur la crise actuelle du logement. Récit d’une aventure collective, Dans la rue est l’histoire de « tant et tant de personnes qui, au fil des ans, se sont impliquées dans leurs groupes locaux […] pour poursuivre sans relâche la lutte pour le droit au logement et la justice sociale ». À la fois témoignage de l’intérieur et exercice de mémoire militante, ce livre leur est dédié.
L'humain et la ville
$59.95
(disponible sur commande)
Résumé:
Cet ouvrage retrace l'histoire méconnue d'un secteur du logement populaire à Paris : les «garnis», à savoir les maisons et hôtels meublés à destination des salariés modestes et des ouvriers. Certains drames de l'année 2005 (incendie de l'hôtel Paris-Opéra : 25 morts) ont de nouveau attiré l'attention sur les rares hôtels meublés qui subsistent aujourd'hui, vétustes et(...)
Théorie de l’urbanisme
juin 2007, Grâne
Une chambre en ville : hôtels meublés et garnis à Paris, 1860-1990
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$59.95
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Résumé:
Cet ouvrage retrace l'histoire méconnue d'un secteur du logement populaire à Paris : les «garnis», à savoir les maisons et hôtels meublés à destination des salariés modestes et des ouvriers. Certains drames de l'année 2005 (incendie de l'hôtel Paris-Opéra : 25 morts) ont de nouveau attiré l'attention sur les rares hôtels meublés qui subsistent aujourd'hui, vétustes et surpeuplés, signe de la pénurie de logements pour les plus démunis. Or, jadis, ces établissements pullulaient dans Paris : près de 10000 logeurs en 1880, et près de 200 000 personnes logées ; au tout début des années 1930, avant la crise économique, près de 350 000 Parisiens (11 % de la population de la capitale !) ne vivaient pas dans leurs meubles. Le migrant d'origine provinciale ou étrangère venant à Paris pour travailler s'installait tout naturellement à l'hôtel. Avoir une chambre en ville, c'était le gage banal d'une indépendance minimum. Cette fonction de sas valait surtout pour les hommes; les femmes, à leur arrivée à Paris, occupaient plutôt des emplois où elles étaient nourries et logées. Avec la crise économique des années 1930, le secteur commença un lent déclin. Au moment de la crise du logement des années 1950, l'hôtel meublé retrouva un second souffle. Le déclin s'accéléra ensuite dans les années 1960. Le garni était devenu dans l'opinion et pour l'État synonyme de taudis et de logement insalubre, destructeur de la famille et de la morale et une partie de ses habitants put accéder au logement social de masse. Subsistèrent longtemps des formes particulières d'accueil des plus pauvres : vieilles maisons insalubres du centre et des faubourgs, bidonvilles, foyers de travailleurs, cités de transit... Rôle rempli auparavant - et souvent infiniment mieux - par le garni. Maintenus en vie comme substitut dérisoire au logement social déficient, ou bien transformés en «résidences sociales», les hôtels sont aujourd'hui bien loin de leur rôle ancien d'habitat de transition entre migration et intégration en ville. Leur survivance, signe de la misère des temps, est aussi le gage du maintien des plus pauvres dans la ville.
Théorie de l’urbanisme
$37.95
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Résumé:
Depuis la création des grands ensembles jusqu'à leur évolution à l'aune des mutations profondes qui animent la société française pendant les Trente Glorieuses, voici une histoire culturelle de l'ensemble du logement social en France, communément appelé HLM. Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, l'heure est à la reconstruction. Il faut remédier à la grave crise du(...)
Le temps des HLM 1945-1975 : la saga urbaine des Trente Glorieuses
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Depuis la création des grands ensembles jusqu'à leur évolution à l'aune des mutations profondes qui animent la société française pendant les Trente Glorieuses, voici une histoire culturelle de l'ensemble du logement social en France, communément appelé HLM. Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, l'heure est à la reconstruction. Il faut remédier à la grave crise du logement qui sévit en France et loger le maximum de Français en un temps record pour des sommes modiques. L'idée des grands ensembles est née. Les habitants découvrent alors l'habitat collectif, la vie en barres. Ces pionniers d'un nouveau genre témoignent d'abord de l'enthousiasme pour cette nouvelle façon d'habiter, fort éloignée de l'éternel rêve pavillonnaire français. Vient ensuite le temps des premières interrogations : Comment créer lien social et vie culturelle dans ces blocs de béton déshumanisés? Que faire pour pallier le manque d'équipements collectifs et de transports en commun? Si le milieu des années 1970 coïncide avec le temps de la rénovation urbaine, se programme déjà la fin des grands ensembles même si le souhait politique d'en finir ne s'accorde pas avec la volonté des habitants de donner une âme à leurs cités et de contrer ainsi l'image péjorative qui leur est allouée. Les projets architecturaux et les politiques des pouvoirs publics sont bien sûr ici décortiqués, mais cet ouvrage fait avant tout la part belle aux habitants, à leur mode de vie et à leurs attentes. La construction des grands ensembles est un épisode décisif de notre histoire contemporaine et ce type d'habitat collectif, témoin de l'évolution des mœurs, a marqué en profondeur notre champ culturel. Il est indispensable aujourd'hui d'en proposer une analyse historique.
Théorie de l’urbanisme
livres
$75.95
(disponible sur commande)
Résumé:
Autour de quelques photographes dits «humanistes» devenus très célèbres (Izis, Boubat, Brassaï, Doisneau, Ronis...), plus d'une soixantaine de reporters-illustrateurs de grand talent ont œuvré et méritent d'être à l'honneur. Qu'ils se nomment Edith Gérin, Janine Niépce ou Sabine Weiss, Marcel Bovis, René-Jacques, Jean Dieuzaide, Jean Marquis, Jean-Philippe Charbonnier,(...)
Théorie de la photographie
décembre 2006, Paris
La photographie humaniste, 1945-1968 : autour d'Izis, Boubat. Brassaï, Doisneau, Ronis...
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$75.95
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Autour de quelques photographes dits «humanistes» devenus très célèbres (Izis, Boubat, Brassaï, Doisneau, Ronis...), plus d'une soixantaine de reporters-illustrateurs de grand talent ont œuvré et méritent d'être à l'honneur. Qu'ils se nomment Edith Gérin, Janine Niépce ou Sabine Weiss, Marcel Bovis, René-Jacques, Jean Dieuzaide, Jean Marquis, Jean-Philippe Charbonnier, Léon Herschtritt, Jean-Louis Swiners, ou encore Eric Schwab, André Papillon..., ils ont en commun d'avoir nourri de leurs images le paysage visuel des Français de l'après-guerre. La Bibliothèque nationale de France peut se prévaloir de conserver la mémoire de bon nombre de ces auteurs, grâce au dépôt légal ainsi qu'à des dons généreux, auxquels elle rend hommage dans une exposition montrant les différents volets de leur activité et de leur production. On découvrira ainsi de nombreuses pièces illustrées par leurs soins ouvrages et magazines, mais aussi affiches, calendriers, agendas, dossiers pédagogiques, présents dans les fonds de la Bibliothèque. Les photographes «humanistes» ont contribué à construire une iconographie nationale, avec ses lieux pittoresques et ses archétypes sociaux mais aussi à dénoncer les réalités de l'époque - misère des banlieues, crise du logement, menaces de guerre - et à relayer luttes et espoirs de l'après-guerre. Grâce à leur participation à de grandes revues internationales (Life, Camera, Du...), ils ont aussi élargi l'horizon de leurs contemporains. Enfin ils ont en commun d'avoir développé «un imaginaire d'après nature» - selon l'expression d'Henri Cartier-Bresson - que l'on peut également qualifier de «réalisme poétique». La figure de l'homme occupe une place centrale dans cette dimension onirique et merveilleuse du réel, révélée par la photographie à l'occasion de riches coopérations avec les écrivains, poètes ou chansonniers de l'époque. Ce sont ces différents aspects que l'exposition et l'ouvrage qui l'accompagne se proposent d'aborder, afin d'élargir et d'enrichir le point de vue actuel sur la photographie «humaniste», trop souvent restreinte à quelques noms et quelques œuvres.
livres
décembre 2006, Paris
Théorie de la photographie
$32.95
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Résumé:
Qu’ont en commun une personne âgée dans un Ehpad, une personne handicapée dans un établissement, un sans-abri dans un foyer d’urgence, un demandeur d’asile dans un centre spécialisé ou encore un sans-papiers dans un hôtel payé par l’État ? Ils bénéficient d’un hébergement qui, s’il s’organise selon des modalités différentes, ne les place pas moins, tous, aux frontières du(...)
Aux frontières du logement ordinaire
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$32.95
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Résumé:
Qu’ont en commun une personne âgée dans un Ehpad, une personne handicapée dans un établissement, un sans-abri dans un foyer d’urgence, un demandeur d’asile dans un centre spécialisé ou encore un sans-papiers dans un hôtel payé par l’État ? Ils bénéficient d’un hébergement qui, s’il s’organise selon des modalités différentes, ne les place pas moins, tous, aux frontières du logement ordinaire. Quels sont ces dispositifs d’hébergement et comment s’inscrivent-ils dans la politique du logement ? Qui en sont les usagers ? Comment la crise liée au Covid-19 a-t-elle contribué à mettre en avant la gravité d’un sujet qui pouvait paraître marginal à la fin du XXe siècle ? Autant de questionnements auxquels Julien Damon apporte des réponses précises, décryptant des données souvent ardues, au cours de ce qui s’apparente à un éclairant périple dans un pan singulier de l’action publique.
Logements collectifs
$29.95
(disponible en magasin)
Résumé:
Il n’est pas courant de considérer sa résidence d’abord et avant tout comme une marchandise intrinsèquement liée à l’économie capitaliste. Pourtant, ce chez-soi dont on a tant rêvé, et auquel on a finalement accès, a été construit puis mis en vente ou en location par des entreprises capitalistes, sur un marché qui s’adresse à des consommateurs dont le pouvoir d’achat(...)
Le promoteur, la banque et le rentier : Fondements et évolution du logement capitaliste
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$29.95
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Il n’est pas courant de considérer sa résidence d’abord et avant tout comme une marchandise intrinsèquement liée à l’économie capitaliste. Pourtant, ce chez-soi dont on a tant rêvé, et auquel on a finalement accès, a été construit puis mis en vente ou en location par des entreprises capitalistes, sur un marché qui s’adresse à des consommateurs dont le pouvoir d’achat provient lui-même d’un autre marché, celui du travail. Et, comme l’a démontré la crise de 2008, le marché de l’immobilier peut subir des bouleversements considérables, affectant de manière drastique l’économie et la société dans son ensemble. Dans cet ouvrage, Louis Gaudreau entreprend d’illustrer le caractère évolutif de la relation entre capitalisme et logement, en retraçant l’histoire de ses trois principaux protagonistes : le promoteur, la banque et le rentier. Car même si le marché de l’habitation fait depuis longtemps partie intégrante du capitalisme, il n’est plus le même qu’au xixe siècle ou qu’il y a trente ans. Il s’appuie désormais sur des logiques financiarisées qui en modifient le fonctionnement. Cette tendance impose de nouvelles conditions au développement du logement et à ses usages, qui révèlent à leur tour la façon dont se pose aujourd’hui la question du droit au logement.
Théorie de l’architecture