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Titre:
Manifeste du tiers paysage, n.é.

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Prix:
$15.95
(disponible sur commande)

Résumé:
Paru il y a près de 20 ans, ce manifeste n'a pas pris une ride, tout comme la pertinence de son propos. Il est complété d'un texte plus récent de l'auteur qui revient 10 ans après sur le chemin parcouru. Il est préfacé par Alexis Pernet, paysagiste et maître de conférences à L'École nationale supérieure de paysage de Versailles. Si l'on cesse de regarder le paysage comme l'objet d'une industrie on découvre subitement - est-ce un oubli du cartographe, une négligence du politique? - une quantité d'espaces indécis, dépourvus de fonction sur lesquels il est difficile de porter un nom. Cet ensemble n'appartient ni au territoire de l'ombre ni à celui de la lumière. Il se situe aux marges.

Titre:
La dernière pierre

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Prix:
$19.50
(disponible sur commande)

Résumé:
Un homme atteint un village de haute montagne, à Bali, là où ne parviennent jamais les étrangers. Il est là pour y apporter la dernière pierre de la collection de son père disparu et y découvrir l'énigme de sa naissance. Un récit singulier et envoûtant, hanté par la musique des pierres, la présence des morts, la quête d'une origine à assigner à chaque être et à chaque chose, la recherche du sens et le vertige de la perte. Gilles Clément, paysagiste, initiateur du concept de jardin planétaire et d'écologie humaniste, et de tiers paysage.

Titre:
Euroland

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Prix:
$24.95
(disponible sur commande)

Résumé:
«…l’angle de vue sous lequel Édith Roux montre les sites révèle un foisonnement doux et divers : utile contrepoint aux uniformes urbains, poétique de la « zone ». Le cadrage et le champ forcent le regard vers ce que l’on méprise habituellement : l’herbe. D’une façon ou d’une autre, par une approche sans rapport avec la démarche scientifique, l’univers visuel abordé ici appartient à cet ensemble diffus et fractionné que j’appelle Tiers paysage : fragment indécidé du jardin planétaire. Territoire biologique du futur. Réserve d’inconnu. » [Gilles Clément] Édith Roux regarde ces friches, ces délaissés du territoire urbanisé comme un territoire biologique privilégié, seul refuge de la diversité. Les deux approches, celle du jardinier, celle de la photographe, se retrouvent sur le terrain. Réalisé autour des territoires en friche observés dans de nombreux pays d’Europe, le travail photographique d’Édith Roux est analysé par le paysagiste Gilles Clément, qui développe actuellement une réflexion autour de la notion de Tiers paysage et de la déprise du territoire urbain ou agricole dans les espaces délaissés. Le texte de Guy Tortosa accompagne cette réflexion par un regard sur la dimension poétique de ce travail.