Notre client, la planète

Ce dossier rassemble dans un esprit proactif quelques approches ciblées de l’architecture en matière d’environnement. Après un bref résumé du contexte (subjectif), il définit, redéfinit et discute certains termes en clarifiant les attitudes qui les fondent. Tant nos erreurs que nos succès y sont documentés, nous permettant ainsi de bien comprendre notre situation actuelle à la lumière du passé. Et puisque nous gardons toujours l’espoir, ce dossier propose de nouvelles possibilités de design – qui, nous le promettons, ne proviennent pas toutes des années 1970. Votre appui à cet égard sera plus qu’apprécié.

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Regards sur l’Ontario nucléaire

Photographies de Robert Del Tredici. Textes de Robert Del Tredici et Gordon Edwards

Robert Del Tredici, photographe. Centre-ville de Port Hope (Ontario) avec l’installation de conversion de l’uranium de Cameco, 1 juillet 2009. Collection de l’artiste

Dix-huit mille personnes vivent dans la ville pittoresque de Port Hope sur la rive nord du lac Ontario, à une heure de route de Toronto. L’endroit accueille l’une des plus anciennes et importantes centrales de traitement chimique de l’uranium de la planète, située à proximité du secteur commercial du centre-ville. À l’arrière-plan de cette image se trouvent les deux principales installations de conversion de l’uranium : la plus petite, à gauche, traite l’uranium à usage domestique; la plus grande, à droite, prépare l’uranium pour l’exportation dans le monde entier.

Le port et l’installation de conversion de l’uranium de Cameco, Port Hope (Ontario), 16 juillet 2009. Collection de l’artiste

L’usine de conversion de l’uranium de Cameco a ouvert en 1932 comme raffinerie de radium. En 1942, on a commencé à y raffiner l’uranium, dans le cadre du projet Manhattan. Au cours de ces années, la raffinerie a rejeté des déchets radioactifs directement dans le port voisin, siège encore aujourd’hui des activités récréatives du Port Hope Yacht Club. Le traitement de l’uranium à Port Hope pour le programme d’armement nucléaire américain s’est poursuivi jusqu’en 1965.

Les installations de Cameco sont parmi les plus importantes des douze usines de conversion de l’uranium dans le monde. L’uranium extrait en Saskatchewan est d’abord traité à la raffinerie de Blind River, dans le nord de l’Ontario, où il est transformé en gel de trioxyde d’uranium. Le gel est ensuite expédié à Port Hope, où il est converti par procédé chimique en autres composés de l’uranium. Le dioxyde d’uranium (15 pour cent de la production de Cameco) est obtenu dans le bâtiment sur la gauche; il est ensuite manufacturé en barres de combustibles pour usage domestique. Dans le bâtiment plus important sur la droite, on produit de l’hexafluorure d’uranium (85 pour cent de ce qui sort de chez Cameco) pour l’exportation. L’hexafluorure est envoyé dans des usines d’enrichissement qui produisent de l’uranium faiblement enrichi (UFE) destiné à alimenter des réacteurs à eau ordinaire dans le monde entier, ainsi que de l’uranium hautement enrichi (UHE) qui peut servir pour propulser les sous-marins nucléaires, pour la production d’isotopes médicaux et les armes nucléaires.

École primaire St. Mary’s, Port Hope (Ontario), 2 mai 1982. Collection de l’artiste

L’école primaire St. Mary’s a dû être évacuée en 1975 après que du radon radioactif a été détecté à l’intérieur. Les taux de radon dans la cafétéria étaient plus élevés que la limite permise dans une mine d’uranium souterraine, et ce, parce que le gaz radioactif était produit de façon continue par les sols contaminés au radium utilisés comme remblai dans l’aire de jeu et autour des fondations de l’école. La raffinerie d’uranium avait mis ces matériaux radioactifs gratuitement à disposition des citoyens de Port Hope à la fin des années 1950.

En 1975, les matériaux contaminés autour de l’école ont été retirés et envoyés par camion vers une décharge locale accueillant des produits radioactifs. Aujourd’hui, le nettoyage le plus onéreux de l’histoire du Canada jamais réalisé par une ville est en cours à Port Hope, puisque des déchets radioactifs ont été retrouvés dans des centaines de propriétés et de ravins des environs. Plus d’un million de mètres cubes ont été localisés jusqu’à maintenant. Les déchets seront recueillis, remballés, transportés et stockés dans une installation technique de gestion à long terme tout juste au nord de la ville, dans le village de Welcome. Le projet prévoit aussi le dragage du port afin de récupérer l’essentiel des sédiments radioactifs qui y reposent. Ce nettoyage est une entreprise conjointe entre le gouvernement du Canada et la ville de Port Hope, à un coût estimé de 1,2 milliard de dollars.

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Monkey Mountain, plateforme no 1, site de stockage temporaire du prolongement de la rue Pine, 48 Highland Drive, Port Hope (Ontario), 22 août 2003. Collection de l’artiste

Cette aire de stockage des déchets radioactifs de Port Hope a vu le jour en 1945 sous le nom de Monkey Mountain Waste Dump. Le site avait été baptisé « Monkey Mountain » [montagne aux Singes] parce qu’un train transportant un cirque avait déraillé à proximité, et que des singes s’en étaient échappés, qui avaient élu domicile dans une colline boisée pendant plusieurs années. Plus tard, Monkey Mountain a servi de décharge pour les résidus des activités de raffinage : parmi ceux-ci se trouvaient de l’arsenic, de l’uranium et du radium. Le site a été mal entretenu pendant des décennies et a contaminé les environs avec des écoulements de produits toxiques et radioactifs, et on a relevé de hauts niveaux de rayonnement gamma le long de la ligne de clôture.

Le site Monkey Mountain est aujourd’hui une étendue de verdure située à une centaine de mètres de ce monticule, et ses déchets ont graduellement été déplacés vers d’autres sites, parmi lesquels l’usine de Cameco, Chalk River, la vieille décharge Welcome et celle de Port Granby.

Après avoir été fermée pendant des dizaines d’années, la zone de Monkey Mountain a accueilli temporairement deux cent mille mètres cubes de déchets radioactifs en provenance de Port Hope. Ils sont maintenant stockés dans cinq sites attenants. Le monticule sur la photo porte le nom de Pad I (plateforme no 1) et il contient six mille mètres cubes de déchets. Depuis que cette photo a été prise, un autre tas (Pad II) de six mille mètres cubes de déchets s’est ajouté à proximité. En outre, la zone de Monkey Mountain comprend le site d’enfouissement de Highland Drive, avec cinquante mille mètres cubes de déchets, et la Pine Street Extension Road Bed, avec une route réalisée à partir de sept mille mètres cubes de résidus radioactifs. Cette concentration de déchets est à distance de marche de l’école secondaire de Port Hope.

Un total d’environ deux cent mille mètres cubes de déchets attendent d’être entreposés à Port Hope dans une nouvelle installation de gestion des déchets à long terme située à proximité, dans les hautes terres humides près de Welcome. Cet établissement à long terme a été conçu pour traiter des déchets pendant cinq cents ans. Ces derniers demeureront radioactifs pendant des dizaines de milliers d’années.

Le complexe nucléaire de Bruce, près de la péninsule Bruce (Ontario), 9 septembre 1998. Collection de l’artiste

Le complexe nucléaire de Bruce est la plus grande centrale nucléaire en activité dans le monde. Situé sur les rives du lac Huron, il comprend neuf réacteurs : huit sur le site de Bruce, et un à Douglas Point, tout proche. Le site de Bruce accueille également une usine d’eau lourde (aujourd’hui fermée) et un incinérateur de déchets radioactifs de faible activité. C’est également le site de l’installation de gestion des déchets Western, où sont entreposés tous les déchets radioactifs de faible et moyenne activité provenant des vingt réacteurs de l’Ontario, ainsi que du combustible nucléaire irradié des réacteurs de Bruce.

Un dépôt géologique en profondeur (DGP) est prévu pour ce site, mais il n’a pas encore reçu l’approbation définitive. Ce serait un dépôt souterrain permanent pour tous les déchets des réacteurs de l’Ontario, à l’exception du combustible irradié, et il serait situé à moins de 1,6 km de la rive du lac Huron. Ontario Power Generation (OPG) précise dans son étude d’impact environnemental pour le DGP que le projet comprendra quatre phases : (1) la construction du DGP; (2) le dépôt des déchets; (3) la fermeture du DGP; et (4) l’abandon des déchets. À l’approche de la phase 4, la Commission canadienne de sûreté nucléaire a l’intention de délivrer à OGP un permis d’abandon. L’emplacement proposé pour le DGP, tout près des Grands Lacs, a suscité d’énergiques protestations des deux côtés de la frontière, en particulier parce qu’aucun autre site potentiel n’a été pris en compte. Récemment, la ministre de l’Environnement canadienne Catherine McKenna a suspendu l’approbation définitive et a insisté pour qu’OGP étudie la possibilité de sites alternatifs à l’écart des Grands Lacs.

En 2011, le complexe de Bruce a reçu l’autorisation d’expédier seize de ses générateurs de vapeur radioactifs (ou « chaudières nucléaires ») jusqu’en Suède en passant par les Grands Lacs et la Voie maritime du Saint-Laurent. Chaque chaudière, d’un poids de cent tonnes, a été contaminée de façon permanente par des dizaines d’éléments radioactifs, dont le plutonium. L’entreprise Studsvik planifiait recycler une partie de l’acier radioactif en produits commerciaux. Aucun étiquetage indiquant que ces produits contenaient des matériaux radioactifs n’était prévu.

Ces seize chaudières auraient été suivies d’une centaine d’autres. Le transport initial, toutefois, a été annulé à la suite de contestations aux États-Unis et au Canada. Des résolutions contre celui-ci ont été adoptées par quarante municipalités québécoises, dont Québec et Montréal. La Première Nation mohawk de Kahnawake a également joué un rôle central dans le blocage de cet envoi, en refusant d’autoriser le passage des chaudières nucléaires sur la portion du Saint-Laurent traversant son territoire.

Cimetière des échangeur de chaleur, complexe nucléaire de Bruce, à proximité de la péninsule Bruce (Ontario), 9 septembre 1998. Collection de l’artiste

Ce cimetière fait partie de l’installation de gestion des déchets Western sur le site du complexe nucléaire de Bruce. Il contient des échangeurs de chaleur qui ont été contaminés par des matériaux radioactifs, essentiellement du césium 137, à la suite de l’exploitation normale du réacteur. Ces échangeurs ne pouvant être recyclés, ils ont été déposés dans des contenants scellés et goudronnés et ils sont enterrés dans le calcaire sur ce site. Ils sont vérifiés une fois par année pour détecter d’éventuelles fuites. Puisque la période radioactive du césium 137 est de 30 ans, la surveillance devra durer plusieurs siècles.

Porte L3-312, plateforme de stockage à sec de combustible usé, complexe nucléaire de Bruce, à proximité de la péninsule Bruce (Ontario), 9 septembre 1998. Collection de l’artiste

Ces silos en béton contiennent l’ensemble du carburant nucléaire irradié du réacteur de Douglas Point, le premier réacteur CANDU (à deutérium-uranium) en vraie grandeur, conçu au Canada pour produire 220 mégawatts d’électricité. Le réacteur de Douglas Point, composante du complexe nucléaire de Bruce, est construit à Kincardine sur la rive du lac Huron.

Dans les années 1960, le Canada a vendu deux réacteurs de type Douglas Point à l’Inde, avec entente de financement sur cinquante ans sans intérêts. Quand l’Inde a fabriqué et fait exploser sa première bombe atomique, surnommée « Bouddha souriant », en 1973, le plutonium provenait d’un autre réacteur donné par le Canada en 1956. Bien que cet événement ait mené à la rupture de toute coopération nucléaire entre les deux pays, l’Inde a bâti seize réacteurs supplémentaires sur le modèle de celui de Douglas Point.

Ce dernier a été fermé en 1984, mais il n’a été que partiellement déclassé. Ontario Hydro veut attendre de cinquante à cent ans avant de démanteler les éléments internes les plus radioactifs du réacteur. Aucun site capable d’accueillir de tels déchets, qui doivent être stockés en sécurité pendant des milliers d’années, n’existe actuellement au Canada.

Réacteur CANDU en chantier, Darlington (Ontario), 21 janvier 1987. Collection de l’artiste

À la différence de la plupart des réacteurs, les CANDU ne contiennent pas le combustible nucléaire dans une seule cuve; ce sont plutôt des centaines de tubes de force qui renferment chacun de huit à douze grappes de combustible. Cela signifie qu’il est possible de recharger un CANDU un tube à la fois sans avoir à le fermer, une caractéristique connue sous le nom de « chargement en marche ». L’efficacité de la production d’énergie en est ainsi améliorée, mais cela complique la tâche de déterminer si du combustible irradié a été clandestinement retiré d’un CANDU pour son plutonium. Cette caractéristique a intéressé les États souhaitant développer des armes nucléaires. Le Canada compte vingt-cinq CANDU : vingt-deux sont en Ontario (dont quatre sont fermés), deux au Québec (fermés) et un (en activité) au Nouveau-Brunswick.

La décision de construire le premier réacteur au Canada a été prise en 1944 à Washington dans le cadre de l’effort de production de plutonium destiné à des armes nucléaires. Les réacteurs canadiens utilisent l’uranium non enrichi (« naturel ») comme combustible, avec un modérateur d’eau lourde, pour produire des neutrons, de la chaleur, de la vapeur, de l’électricité – et du plutonium. En réalité, les CANDU produisent environ le double de plutonium que tout autre réacteur, à l’exception des réacteurs surgénérateurs, conçus expressément à cet effet. C’est pourquoi les scientifiques canadiens de l’énergie nucléaire qualifient parfois le CANDU de « quasi surgénérateur ».

Outre l’Inde, le Pakistan, l’Argentine, la Corée du Sud, la Roumanie et la Chine comptent des CANDU en activité.

Barils de « brut », raffinerie d’uranium Eldorado, Blind River (Ontario), 25 août 1986. Collection de l’artiste

Ces barils de plastique contiennent des déchets chimiques et radioactifs provenant de l’exploitation de la raffinerie de Blind River, qui traite le minerai d’uranium depuis 1983. Le cocktail comprend du radium, du thorium, du radon et du polonium. Les ouvriers de l’usine utilisent le terme « brut » pour décrire ces déchets et désignent l’uranium raffiné produit sous le terme anglais de « OK Liquor ». Il s’agit d’un gel de trioxyde d’uranium; acheminé dans des barils à Port Hope, il est converti en dioxyde d’uranium ou en hexafluorure d’uranium.

Mur de résidus de la Stanrock, Elliot Lake (Ontario), 25 août 1986. Collection de l’artiste

Le mur de sable blanchâtre de dix mètres de haut derrière les arbres est composé de déchets radioactifs appelés résidus de traitement de l’uranium. Ces derniers proviennent de mines et d’usines de concentration d’uranium des environs. Derrière le mur, un lac entier est rempli de 70 millions de tonnes du même sable radioactif. Le site n’est pas clôturé, ni surveillé. Ces déchets sont des reliquats des contrats d’après-guerre signés avec l’armée américaine, qui a utilisé de l’uranium canadien dans des dizaines de milliers d’armes nucléaires.

Les résidus de traitement de l’uranium contiennent un grand nombre des matériaux radioactifs les plus dangereux trouvés dans la nature : le radium, le radon, le thorium, le polonium et le plomb radioactif, qui sont tous des sous-produits du raffinage de l’uranium. Certains de ces matériaux radioactifs sont à courte période, comme le radon, mais ils sont continuellement reconstitués par la désintégration d’autres matériaux qui, pour certains, prendront des millénaires à se dégrader.

Au milieu des années 1970, on a découvert que des décennies de ruissellements de ces résidus et d’autres de la région avaient mené à une grave contamination du réseau hydrographique de 93 kilomètres de long de la rivière Serpent qui, avec ses dix-huit lacs, se jette dans la baie Georgienne. Des mesures d’atténuation ont été prises depuis la réalisation de cette photographie, mais les résidus resteront dangereux pendant des centaines de milliers d’années durant lesquelles ils devront être surveillés en permanence. Le Canada abrite en tout deux cent vingt-cinq millions de tonnes de résidus de traitement de l’uranium, un nombre qui augmente année après année.

Une sélection de ces photographies fait partie de notre exposition et publication Le temps presse : une contre-histoire environnementale du Canada moderne, réalisées en 2016.

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